Journée de merde. Semaine de merde.
çà fait une semaine que mon contrat s'est fini. Une semaine que je pleure d'angoisse tous les soirs. Une semaine que j'ai des lames qui me déchirent le ventre. Une semaine et çà ne s'arrête pas. Non, çà ne s'arrête pas. Parce que je n'ai toujours pas trouvé de logement. Et Bordeaux ne me donne plus envie. Bordeaux me file la frousse. Bordeaux me file des crampes. Bordeaux m'angoisse. Bordeaux est associé à la panique.
La panique du " Et si, en fait, j'avais fait une putain d'erreur? ". Voir chaque jour des éléments qui prouvent que oui, peut être que j'en ai réellement fait une. Et si encore j'étais toute seule. Mais non. Non. Mes parents sont engagés dedans.
J'en arrive à haïr mon père. Horrible connard ne servant qu'à serrer la vis de l'enfer un peu plus. Ma mère fait comme elle veut. Je fais comme je peux. Mais la haine m'étouffe. Joue les balles de ping pong et vont griffer d'autres personnes que mon père.
Je n'ai absolument personne à qui parler de cette angoisse qui me bouffe. Pas une amie qui pourrait m'accompagner faire les visites et me coller un coup de pied au cul pour me recadrer. Non. Il n'y a personne. Personne à qui en parler. Parce que les mots n'ont pas de force. Ils sont tellement petits, tellement vacillants, tellement éphémères et inutiles. Et c'est là que je réalise que je n'ai pas de véritable ami. Personne à appeler qui serait là. En place, pour m'aider. [Marion, ne le prends pas pour toi, comme un affront personnel. J'ai toujours du mal à venir me plaindre auprès de toi.. Tu as tellement déjà à faire..] Non, tout le monde reprend les cours, traverse la vie en courant. Et moi, je me reprends le fameux retour de parabole. J'ai été heureuse et paisible pendant une année entière. Me revoilà dans les emmerdes jusqu'au cou, avec l'angoisse, le mal être et l'anti-social associé.
Je suis sur la lame. Putain de douleur. Putain d'enfer. Putain de PUTAIN.
çà fait une semaine que mon contrat s'est fini. Une semaine que je pleure d'angoisse tous les soirs. Une semaine que j'ai des lames qui me déchirent le ventre. Une semaine et çà ne s'arrête pas. Non, çà ne s'arrête pas. Parce que je n'ai toujours pas trouvé de logement. Et Bordeaux ne me donne plus envie. Bordeaux me file la frousse. Bordeaux me file des crampes. Bordeaux m'angoisse. Bordeaux est associé à la panique.
La panique du " Et si, en fait, j'avais fait une putain d'erreur? ". Voir chaque jour des éléments qui prouvent que oui, peut être que j'en ai réellement fait une. Et si encore j'étais toute seule. Mais non. Non. Mes parents sont engagés dedans.
J'en arrive à haïr mon père. Horrible connard ne servant qu'à serrer la vis de l'enfer un peu plus. Ma mère fait comme elle veut. Je fais comme je peux. Mais la haine m'étouffe. Joue les balles de ping pong et vont griffer d'autres personnes que mon père.
Je n'ai absolument personne à qui parler de cette angoisse qui me bouffe. Pas une amie qui pourrait m'accompagner faire les visites et me coller un coup de pied au cul pour me recadrer. Non. Il n'y a personne. Personne à qui en parler. Parce que les mots n'ont pas de force. Ils sont tellement petits, tellement vacillants, tellement éphémères et inutiles. Et c'est là que je réalise que je n'ai pas de véritable ami. Personne à appeler qui serait là. En place, pour m'aider. [Marion, ne le prends pas pour toi, comme un affront personnel. J'ai toujours du mal à venir me plaindre auprès de toi.. Tu as tellement déjà à faire..] Non, tout le monde reprend les cours, traverse la vie en courant. Et moi, je me reprends le fameux retour de parabole. J'ai été heureuse et paisible pendant une année entière. Me revoilà dans les emmerdes jusqu'au cou, avec l'angoisse, le mal être et l'anti-social associé.
Je suis sur la lame. Putain de douleur. Putain d'enfer. Putain de PUTAIN.
Je sais pas exactement ce qui t'angoisse à ce point mais essaye de faire les choses dans l'ordre. Classe tes priorités et avance pas à pas. Tout vouloir régler d'un seul coup n'est malheureusement pas possible. Alors fais le petit à petit.
♥